Le régime miracle! Lajournaliste vous révèle la seule, l'unique méthode qui fonctionne vraiment, comme à la télé
Vous
qui avez "tout essayé", avez-vous vraiment tout essayé? Dukan? C'est fait! L'hyperprotéiné avec sachets? C'est fait? L'hypocalorique? La détox? L’acide base ? C'est fait. Bref, pauvre de
vous, rien ne marche? HAHAHA! Permettez moi de rire car voyez-vous, moi qui n'ai vraiment rien essayé (à part Week
Up'), je connais la méthode, the only one, the unique, que si on la suit, (pb de santé, d'hormones, etc mis à part bien sûr!) et ben ça marche à coup
sûr...
On pourrait l'appeler la méthode tout mieux, ou bien la méthode bon sens. Ou bons sens…
Attention, elle est avec efforts, avec sensation de faim et pas garantie sans reprise de poids. (on n'a rien sans rien ma p'tite dame) Le principe?
1° Manger en petite quantité mais parfaitement équilibré CAD en suivant le ratio 1/3 de protéines, 1/3 de légumes, 1/3 de féculents par repas.
2° Eliminer alcool, sucreries et aliments gras et/ou sucrés (foie gras, viennoiseries...)
3° Et faire du sport d'endurance à petite intensité = bouger son corps dans des
mouvements qui ne sollicitent pas les muscle trop fort mais longtemps (sinon, gonflette et vraiment, des bras de camionneur c'est pas ce qu'on veut). Le tout 3 fois par semaine, dont si
possible au moins un footing, grand brûleur de calories.
Voilà. Vous faites ça, sans (trop) d'écart, pendant 3 semaines et hop ! Vous êtes amincie, tonifiée, galbée etc… vous êtes mieux dans vos vêtements, vous avez sans doute encore des rondeurs
mais vos attaches et votre visage sont visiblement affinés…
Et ensuite vous évitez d'arrêter le sport d'un coup et de faire une cure de Kinder Bueno, hein! Pour peu que vous ayez appliqué par massage une crème amincissante matin et soir, votre peau est, en plus, raffermie.
Parce que la dure réalité de la life des régime c'est que si "ça marche pas" c'est qu'il y a une raison (genre les écarts à minuit devant les Experts). Et que les régimes où l'on reprend "tout derrière" -selon la formule imagée que l’on prononce souvent en ignorant son double sens- ben c'est que ce ne sont pas, justement, de bons régimes.
Voilà. C'est pourquoi aussi la plupart d'entre nous oscille entre les deux comportements, font le yoyo, se maintiennent en jonglant au prix de "Puisque j'ai craqué -sur du Crunch, cette saloperie où les tablettes sont vendues par 2!!-", je zappe le dèj et ce soir ce sera une soupe pour rattraper. »
Ca va, faites pas les innocentes…
Alors oui, trucs et astuces pour compenser
les éxcès sont les bienvenus faute d'un sans faute, et peut être bien que c'est en effet mieux (ou moins pire) de se faire une bouchée-hypocalorique-hyperproteinée-saveur-cacao-fruit-des-bois que
de descendre un paquet de noix de cajou suivi d’un demi paquet de madeleines (pour l'envie de goût sucré qui a dérapée), mais ce que je voulais dire ici, c'est que l'idéal est encore de craquer
pour un Kinder Bueno (ou Pingui, notez) de temps en temps, à l’envie, parce que dans le cadre d'une bonne hygiène de vie, ça n'a aucune conséquences.
Alors bien sûr, la vraie question est de savoir pourquoi nous n'appliquons pas toutes ce régime « bon sens ». Soyons honnêtes...
1° A cause de la flemme de se bouger le c...
2° A cause de notre dépendance psycho-affective à la bouffe (qui englobe le "je mange donc je suis", "je mange pour compenser une frustration", "je mange pour me remplir" -de l'amour que je ne reçois pas-, le "je mange parce que je m'ennuie" -alors que si à ce moment vous alliez courir, ben ça n'arriverait pas, CQFD et autre "je mange parce que c'est festif/convivial/parce que je suis une bonne vivante" - sous entendu si je ne levais pas ma coupe de la main droite avec la gauche remplie de pistaches on me prendrait pour une fille chiante etc...
3° Par manque d'envie. Car oui, quand on a très envie, CAD suffisamment envie pour mettre en oeuvre ce qu'il faut pour que quelque chose arrive, ça arrive. Et le déclic en minceur, ça existe. Dans ce cas, portée par ce qui tient plus de la détermination que de la motivation, soudain, plus de problème à décliner le vin qu'on nous propose, à laisser passer le plateau de charcuterie sans se servir ou encore à croquer dans une pomme plutôt que dans un Pepito Mini Rollos.
Et là on est dans le psycho à fond: pourquoi ai-je l'impression d'avoir envie mais pas assez pour y arriver, pourquoi le déclic n'arrive-t-il pas? Finalement, quelle peur se cache dans le fait de maigrir? Qu'ai-je peur de perdre avec mes kilos (Ma féminité? Une protection contre les agressions du monde "extérieur"? etc...)
Voilà. Bonne chance matelote! Tu n'es pas seule sur cette mer calorique agitée, sache-le!
Et sache aussi que si tu faisais 4 h de sport par jour, tu aurais le droit de manger ce que tu veux. TOUT ce que tu veux, et en quantité illimitées!
Il y a donc une solution si tu as vraiment envie de t'empiffrer, c'est merveilleux!
Explication: manger 500g de pâtes avec sauce et fromage 2X/jour suivi de pizza le soir avant de dormir n'a pas de conséquence (si ce n'est sur une certaine dilatation de l'estomac) sur la ligne si on brûle tout (preuve avec les coaches et autres body buildés qui se tape des portions, comment vous dire… indécentes!)
Car si toute cette histoire voluptueuse de chocolat qui fond sous la langue et de bourrelets qui ondulent sous les doigts n'était qu'un problème de décompte de ce qui rentre et de ce qui est brûlé, ce serait simple. S'il n'y avait pas de dimension psychologique, on suivrait sans difficulté un régime hypocalorique et hop! Enfin, s’il n'y avait pas de dimension psycho...